5 jours à Quito mais 5 jours de pas grand-chose…ou plutôt si, de beaucoup de problèmes !!!!
Après nos 3 nuits en bus, on arrive étonnamment en forme à Quito. On prend possession de notre chambre dans l’hôtel le moins cher que nous avions trouvé sur Internet, c’est pas top mais ça fera l’affaire et on se dit qu’on pourrait redormir un peu avant d’entamer la journée…Mais en vain, au bout de 10 minutes, on se relève, on est prêt en fait ! Une bonne douche et on part prendre un délicieux petit-déjeuner : jus frais, café, œufs, croissant jambon/fromage. Miam. C’est bon, cette fois, on est vraiment prêt pour entamer notre journée ! Objectif de la journée : trouver un départ dernière minute pour les Galápagos. On en rêve depuis le début de notre voyage. On avait prévu le budget pour y aller, mais il était limite quand même et depuis le départ, on se disait qu’on se l’offrirait si on était bien niveau budget. Résultat des courses : on est plus que bien niveau budget puisqu’on est en économie de plus de 4000€/personne par rapport à ce qu’on avait prévu jusqu’ici (bon, faut avouer qu’on avait prévu très large !)…Alors c’est parti pour la recherche de séjour aux Galápagos.
Les Galápagos, ce sont des petites îles volcanique, bien au large de l’Equateur (à plus de 1000km) où l’on peut observer et nager avec des dizaines d’animaux absolument extraordinaires : tortues géantes, iguanes, manchots, otaries, dauphins, requins, etc. etc. Ça nous fait juste rêver !
Et la première agence que l’on va voir nous fait déjà rêver : elle a deux offres de dernière minute (départ dans 5 jours) sur un bateau première classe à un prix abordable. On s’attendait à plus cher alors l’espoir naît en nous…(Bon, ne rêvez pas trop, ça reste très cher quand même !). Il faut savoir que rien que pour se rendre aux Galápagos, il faut prendre l’avion qui coûte dans les 500$ A/R puis, il faut payer un droit d’entrée sur les îles de 100$ par personne…Donc rien que pour y aller, on est déjà à 600$ ! Ensuite, sur place, comme ce sont pleins de petites îles, on peut choisir de loger sur l’une des îles et tenter de sillonner en excursions à la journée, c’est la solution la plus économique mais les îles étant quand même éloignées les unes des autres, ça limite les possibilités et ne permet que de voir une petite partie des Galápagos. Sinon, on peut choisir de faire une croisière qui permet d’aller d’île en île et de voir, des îles plus reculées…Les croisières partent pour maximum 8 jours avec une boucle à l’ouest ou à l’est…Mince alors, l’île d’Isabela à l’ouest nous intéresse plus que tout mais d’autres îles à l’est nous attirent aussi…
On fait quelques agences, avec des propositions de standing différents : du bateau plus que basique avec eau froide et peu de confort au luxe…et on tombe sous le charme d’une proposition d’une agence : un bateau de classe intermédiaire qui part pour 8 jours vers l’ouest (ce qu’on souhaite faire) pour un prix convenable…Et on pourrait enchaîner sur une autre croisière de 8 jours avec toutes les îles de l’est…La solution idéale car on resterait 15 jours sur place, en rentabilisant en quelques sortes le billet d’avion et le droit d’entrée, et en voyant quasi toutes les îles de l’archipel !!! C’est tentant mais il faut avouer que c’est largement au-dessus de ce qu’on s’était fixé comme budget…En même temps, les Galápagos ne se font qu’une fois dans une vie…
On fait quelques autres agences, mais rien d’aussi intéressant en terme de prix et de programme…
Allez, soyons fous, on a fait beaucoup de concessions et surtout, toujours fait très attention à notre budget, cette fois, on décide de flamber ! C’est parti pour 15 jours aux Galápagos les amis !!!!
La départ est 5 jours plus tard…Et heureusement car vue la somme à sortir, il va nous falloir quelques jours (et nous ne sommes qu’au début de nos peines, croyez-nous !). On pourrait tout payer en carte directement, notre banque ayant accepté d’augmenter le plafond de paiement, mais l’agence charge 6% en plus (et on vous assure, 6% sur ce montant là , ça fait mal).
Nous voilà donc partis, pour les 3 jours suivants, dans une course incroyable au cash ! Nous avons tout ce qu’il faut sur nos comptes en banque, mais le problème, c’est pour les sortir !
1/ Les distributeurs, en Equateur, ne permettent pas de retirer plus de 600$ par jour et encore, c’est quand ça marche ça ! Nous n’avons jamais réussi à retirer plus de 200$ de notre côté…
2/ Solution palliative : aller au guichet et demander une avance de cash. On peut demander autant qu’on veut mais c’est qu’on a des plafonds nous…
3/ Nous avons 2 banques : Société générale avec une option sans frais pour l’international et Boursorama Banque. Premier appel à la SG qui dit ne pas pouvoir augmenter le plafond des retraits…Mince alors. Bon, il faudra se servir de Boursorama…
4/ Au guichet, pour les avances de cash, nos cartes Boursorama ne passent pas : pas les autorisations à priori…
4/ Commencent des appels répétés et sans résultats satisfaisants à Boursorama pour comprendre pourquoi, alors que nous avons les plafonds nécessaires, nos cartes ne passent pas (alors que la carte SG passe elle).
…Mince alors, le deuxième jour, nous n’avons pu retirer que 2 fois le plafond journalier de notre carte SG. Nous n’en sommes donc qu’à 1200$ (sur 6000$ à payer)…on est mal barré !!! Heureusement, l’agence nous permet de payer les billets d’avion par carte bleue, sans commission supplémentaire, c’est déjà ça de pris !
On est dans l’impasse et se présente alors la solution Western Union. On calcule et avec leur commission et les frais de change qu’ils se prennent, cela ne nous coûterait que 3% de frais contre les 6% chargés par l’agence de voyage…C’est mieux. C’est alors que 3 nouveaux protagonistes entrent en jeu : la mère d’Elise, le père de Kevin et la belle-mère de Kevin qui nous font tous 3 un transfert d’argent via Western Union alors que nous nous en faisons un également entre nous avec nos cartes Boursorama (enfin elles servent à quelque chose celles-là  !). L’avantage, c’est qu’en tant de nouveaux inscrits, on a un code promotionnel qui annule les frais de notre premier transfert d’argent (toujours ça de pris). Mais c’est qu’on n’est pas au bout de nos peines !!!
Lorsqu’on fait un transfert via Western Union, on remplit les champs comme des gens bien élevés : Prénom : Kevin / Nom du père : Bourne / Nom de la mère : Tisseyre (on ne sait pas pourquoi ils le demandent mais admettons…)
Pour Elise, sa maman remplit Bourne, Geldhof alors que Kevin remplit Geldhof, Delecroix…
Et commence notre série d’aller/retour chez Western Union.
Premier essai de retrait : Kevin se fait remballer, il n’y a pas écrit Tisseyre sur son passeport alors ça ne marche pas. Elise se fait encore plus remballer car Delecroix n’a rien a faire là mais en plus, dans le transfert de sa mère, c’est indiqué Bourne – Geldhof et non Geldhof – Bourne !!!! On rage, le système est mal fait. Retour à l’envoyeur, on ne peut pas changer les noms en ligne et on est obligé d’appeler Western Union pour faire les changements.
On sait, en plus, qu’il faut mettre nos 3 prénoms, comme indiqué sur nos passeports. En gros, il faut que ce soit identique au passeport. Identique au passeport ? Alors pour Elise, on demande à indiquer Geldhof ép. Bourne, comme c’est écrit sur le passeport.
Deuxième essai : « ah non madame, il y a indiqué ép.  et ça, ce n’est pas votre nom ». Elise pête un câble en expliquant qu’on lui a dit qu’il fallait EXACTEMENT que ce soit comme sur le passeport ! Retour à l’envoyeur. Deuxième appel au service client, on peut enlever ép. ? Quand sa mère appelle, le gars lui dit que non, il faut que ce soit exactement comme sur le passeport…On ne s’en sort pas là  !!! Bon, on force et on réussit à enlever ép.
Troisième essai : VICTOIRE !!!!
Heureusement qu’entre temps, nous avons changé d’hôtel et que nous dormons désormais à quelques pas de Western Union ! En tout cas, il faut avouer que le vigile est désormais notre grand pote et qu’Elise s’est fait quelques connaissances dans les longues files d’attente !
Mais c’est pas tout ça, il nous manque encore un peu d’argent pour solder notre dû ! Car, alors que nous pensions maîtriser totalement la situation, la carte SG nous fait faux bond le dernier jour sans crier gare ! On ne comprend pas, on n’a pas atteint le plafond encore…Nième appel à la SG mais pas de réponse satisfaisante, il faut appeler le service carte mais après 10 minutes d’attentes, on comprend qu’il est passé 17h en France…ça doit être la fin de la journée pour eux et nous, on doit payer notre solde aujourd’hui car l’agence de voyage est fermée le samedi !
Kevin rappelle Boursorama et oh, grand miracle, tombe enfin sur quelqu’un de compétent qui lui donne la solution sans même un temps de réflexion : les banques d’Equateur n’ont pas les autorisations en effet pour nous faire des avances de cash puisqu’elles sont sur liste rouge. En un clic, ils les passent sur liste verte…Mais pourquoi personne n’a été capable de nous répondre ça lors de nos 3 derniers appels ????? Bon, ce n’est pas de sa faute à ce gentil monsieur si ses collègues ne sont pas très compétents…En tout cas, le soir, on réussit enfin à avoir, en notre possession, le solde nécessaire !!!
3 jours de bataille folle ! 3 jours au téléphone (via Skype, vive Skype !) avec nos banques et nos parents pour faire changer nos noms pour les transferts ! 3 jours où nous avons visité toutes les banques de Quito (ou presque) et avons grandement sympathisé avec les c*** d’employés de Western Union ! 3 jours de stress (un petit peu quand même) et d’agacement surtout ! Mais ça y est, on peut enfin dire, cette fois, que l’on part aux Galápagos :-).
Sinon, le 3ème jour, entre nos quelques problématiques de banque, on décide malgré tout d’aller se balader dans la vieille ville de Quito. On logeait, jusqu’ici, dans le quartier Mariscal qui fait partie de la ville nouvelle, alors entre toutes ces prises de tête, on se dit que ce serait bien d’aller se balader ailleurs et de visiter un peu Quito quand même ! Et puis l’autre raison, c’est que depuis la veille, on est à la recherche d’un appareil photo Waterproof. Eh oui, ce serait dommage de faire 2 sorties de snorkeling par jour et de ne pas pouvoir prendre de photo sous l’eau ! La première solution, c’est de prendre des jetables mais on sera limité en nombre de photo, ce ne sera pas numérique et ça coûte bigrement cher ! 28$ pour 27 prises seulement ! Et on ne parle pas du développement. L’autre solution, c’est de s’acheter un numérique Waterproof…On en avait un mais il s’est cassé en Thaïlande…La veille, nous sommes allés dans un centre commercial tout beau, tout chic mais ils n’ont que les nec plus ultra à plus de 400$…Alors Elise a trouvé sur Internet le nom d’un « centre commercial » dans la vieille ville où on y revendrait, à priori, les appareils photos volés. Bon, on avoue, c’est pas très éthique mais là , on commence à être un peu juste niveau budget alors on va aller faire un tour, au cas où…Il faut dire que Quito a une « belle » réputation en terme de vol d’appareils photos !
Bon, pour le coup, on part se balader très prudents avec notre petit appareil photo à nous au fond de notre poche de pantalon, attaché avec un mousqueton !
Du coup, premier arrêt de note balade dans la vieille ville, dans le centre commercial en question et en effet, il y en a pour tous les goûts : portables à gogo, quelques ordinateurs, quelques appareils photos…Par contre, on n’a pas trop d’espoir car les premières boutiques ont peu d’appareils photos, alors encore moins des waterproof ! On nous propose une sorte de portable/appareil photo Waterproof à 150$ mais la qualité ne nous paraît pas folle. Au pire, on prendra ça mais on n’est pas convaincu quand même. Et puis au 3ème étage, l’espoir renaît, on trouve le même Olympus Waterproof que l’on avait. On ne le trouvait pas fou en qualité mais il ferait l’affaire. Il est bien usé mais tant qu’il marche…On le négocie à 80$ (alors qu’il en vaut une centaine d’euros) avec un chargeur de batterie (parce que biensûr, ces appareils photos n’ont pas les câbles de chargement – ben oui, on se fait rarement voler son appareil photo avec le câble). Comme on veut voir si le chargeur marche, on lui propose de revenir 30 minutes plus tard voir si la batterie a bien chargé. Mais en avançant encore, on tombe sur un modèle bien plus avancé et mieux en qualité du même Olympus. Elle nous le fait à 110$ avec le chargeur. Il est top : super qualité et paraît limite neuf…Bon, on veut encore réfléchir alors on continue et on tombe sur le même que le dernier un peu plus usé (il a même encore les photos des précédents propriétaires !). Il nous le fait à 100$. On aimait vraiment bien l’autre, du coup, on y retourne et on le négocie à 105$. Et voilà . Nous voilà en possession d’un appareil qui vaut en fait 300€ (ça, on ne l’a vu qu’en rentrant à l’hôtel) et qui nous permettra de prendre tous les superbes poissons des Galápagos. Nous sommes sincèrement désolé pour la personne qui s’est fait volé cet appareil-photo, mais il faut avouer que de notre côté, nous sommes plutôt très satisfaits ! Le grand finish de notre achat, c’est quand la mémé qui nous l’a vendu nous conseille de faire très attention aux pique-pockets. Traduisez : « Ben oui, ce serait trop dommage, ça me reviendrait » ! Non mais on vous jure, c’est le comble de nous dire ça !!!!
Notre nouvel appareil en poche (bien au fond de la poche aussi celui-là ), on arpente les rues du vieux Quito. Et c’est la surprise : on s’attendait à du vieux…et en fait, c’est hyper propre. C’est de la vieille pierre certes, mais souvent repeinte dans un beau blanc, bien propre. La ville est jolie. On entre dans l’Eglise San Francisco qui est absolument magnifique, toute recouverte d’or (ou de doré du moins). Ça fait du bien de se changer les idées, de se balader un peu et de manger une glace sur les marches de la place San Francisco :-).
Nous aimons beaucoup la ville mais il faut avouer que depuis le début, nous sommes très étonnés par l’Equateur. Nous nous attendions à un pays un peu comme la Bolivie mais l’Equateur semble bien plus riche à première vue. C’est vrai que nous avons passé beaucoup de temps dans la ville nouvelle mais quand même, nous sommes étonnés des prix « élevés » (tout est relatif), de la modernité, du nombre de centres commerciaux hyper modernes, etc. On verra à note retour des Galápagos, quand nous voyagerons un peu plus en Equateur, si note impression est toujours la même. Mais on s’attendait à un pays beaucoup moins cher que le Pérou et pour le moment, on est plutôt sur les mêmes prix voire plus cher pour les hôtels.
Bon, on ne traîne pas trop dans la vieille ville quand même car, si vous avez suivi, on a encore le solde de notre séjour aux Galápagos à payer et il nous faut se dépêcher avant que les banques et l’agence ne ferment. Sur le chemin du retour, on s’arrête dans un magasin de sport qui vend des masques/tubas et palmes. On se rend compte que cela nous reviendra un tout petit peu moins cher de les acheter que de les louer pour les 2 semaines (eh oui, tout n’est pas compris en plus dans le prix faramineux de notre croisière). Banco, ça tombe bien car Elise se servira des mini-palmes pour la piscine en rentrant et du matériel de snorkeling, ça peut toujours servir. Journée fructueuse : paiement de notre séjour, achat d’un super appareil photo à prix modique et de l’équipement de snorkeling : on est fin prêt pour les Galápagos !!!
Nous pouvons donc, enfin, profiter de notre dernière journée à Quito l’esprit libre. On part donc, en fin de matinée, direction la mitad del Mundo, soit : le centre du monde ! C’est plus pour la forme que pour l’intérêt du site que nous nous y rendons : faire la photo à latitude 00 : 00 : 00. Un trajet en metrobus et un trajet en bus plus tard, nous y sommes. Le site n’est, en effet, pas extraordinaire : quelques bâtiments avec des expositions mais surtout, une ligne équatoriale qui nous indique que nous marchons, à priori, sur l’équateur. Le fait est, que le complexe a été construit autour de cette ligne mais qu’il est apparu, avec de plus précises mesures, que la latitude triple zéro se trouvait vraiment un peu plus loin. Nous voilà donc partis vers cette vraie ligne équatoriale qui passe au milieu d’un musée (ou plutôt le musée a été construit autour de cette ligne). Le musée s’avère, pour finir, bien plus intéressant que le complexe construit autour de la « fausse » ligne équatoriale. On nous fait une visite guidée qui comporte quelques expériences très intéressantes :
- Sur la ligne équatoriale, il est plus facile de faire tenir un œuf en équilibre vertical…Question de gravité. On s’essaye tous à cette expérience (nous sommes 4 dans le groupe) et « ouf ! », on y arrive !
- Il semble aussi que nous ayons moins de force sur la ligne équatoriale…
- Dernière expérience, le guide vide un évier. Il met une feuille dans l’évier alors que celui-ci se vide. Sur la ligne équatoriale, les feuilles vont directement dans le trou de l’évier, sans rotation sur elles-mêmes. Pôle nord : les feuilles effectuent des rotations dans les sens des aiguilles d’une montre avant de s’engouffrer dans l’évier alors qu’au pôle Sud, les feuilles tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre : impressionnant !
De par ces expériences, on voit que nous sommes bien sur la ligne équatoriale…
M’enfin, on est quand même sur la ligne équatoriale et c’est incroyable, d’un côté, c’est l’hiver alors que de l’autre, c’est l’été !!!
Après ces petites expériences, on mange un déjeuner rapide et nous voilà repartis en bus…Et voilà la petite anecdote sur notre trajet en bus (nous en avons toujours une sous la main !) : le contrôleur vient nous faire payer notre ticket de bus alors que nous sommes dans le bus. Jusque-là , tout va bien. A l’aller, nous avions payé 0,25$ pour le metrobus et 0,15$ pour ce deuxième bus. Nous lui donnons donc 0,40$ en attendant qu’il nous rendre 0,10$ (0,15 x 2 = 0,30…c’est bon ?). Mais il ne nous rend rien et nous demande 0,40$ en plus. Comment ça ? Elise lui explique qu’on avait payé 0,15$/personne à l’aller alors on ne va pas payer 0,40$ maintenant ! Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas essayé de nous « arnaquer »…Mince alors ! Il insiste vraiment et nous dit 0,15 + 0,25, ça fait 0,40…Oui d’accord mais pourquoi on paiera le prix de nos 2 bus pour l’aller pour un seul bus alors qu’on s’arrêtera bien au milieu de notre parcours ?!!? Pour finir, après 4 tentatives, il abandonne. On descend à notre arrêt pour prendre le bus suivant et en fait, on se rend compte qu’en effet, on ne va pas payer le deuxième bus, on est supposé l’avoir payé en totalité dans le premier…Oups. On n’a pas arrêté de râler à ce pauvre monsieur mais c’est pas logique !!! On essaie de comprendre la logique mais on ne saisit pas et comme il n’a pas réussi à nous expliquer que nous ne paierions pas le deuxième bus, eh bien, on n’a pas compris !!! Oups !
Bon, voilà pour notre « dernière » journée à Quito. On n’a pas fait grand-chose au final sinon visiter des dizaines de banques, sympathiser avec les employés de Western Union, changer d’hôtel (pour un hôtel moins cher et bien mieux by the way), manger (un peu mais pas trop parce que bizarrement, alors que nous sommes en fin de voyage, nous avons quelques « petits » problèmes gastriques) et ces 2 petites visites. Pour finir, nous aurons encore pas mal de choses à voir en rentrant des Galápagos en seulement 3 semaines ! Eh oui, nous avons du mal à réaliser qu’habituellement, quand on part en vacances, on n’a que 3 semaines maximum…maintenant, nous trouvons que c’est une croute période et n’arrivons pas à faire rentrer tout ce que nous voulons faire dans ce « petit » laps de temps !Â
Mais tout ça, ce sera après nos 15 jours aux Galápagos…Â