Arrivée à Pékin

Arrivée à Pékin

Une nuit dans le bus de Paris à Londres, une nuit dans l’avion, un décalage horaire difficile…c’est fatigués que nous entamerons notre arrivée à Pékin. Et la journée ne fait que commencer.

Pékin

Bus – Métro – et enfin, arrivée à l’hostel. Nous avions réservé cette première nuit par e-mail et logeons au Sunrise Hostel à quelques pas de la cité interdite et du night market. Nous prenons possession de la chambre et en profitons pour aller prendre une douche et faire la connaissance de Tom, qui partagera notre dortoir cette nuit. L’hôtel est clean, ça fait du bien de se poser un peu.

Notre première aventure ?

Après s’être posés, nous demandons à la réception de l’hôtel où se rendre pour acheter nos tickets de bus pour se rendre à la frontière mongole le lendemain. Elle nous indique tant bien que mal un bus à prendre, puis un métro…Ok, on se lance. Après tout, même si nous ne pouvons pas acheter nos billets la veille (du moins nous n’en sommes pas sûrs), nous verrons où cela se trouve et nous nous renseignerons. Après un trajet houleux où nous avons maintes fois demandé confirmation de notre chemin et découvert les incompréhensions flagrantes entre chinois et occidentaux, nous y voilà. Mais en fait, il s’avère que ce n’est pas la bonne station de bus, oh la coquine !!! La chinoise, au bureau des renseignements, nous indique la bonne station et nous dit que nous ne pourrons acheter nos billets que le lendemain matin pour le lendemain soir. Opération infructueuse et demi-tour toute. Néanmoins, nous sommes fiers de nous, nous avons réussi à nous y retrouver et nous frayer un chemin dans ce monde de brutes si grouillant !

Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à la place Tien An Men et admirons la porte de la paix céleste de la cité interdite (en travaux :-P).

     

Premières impressions de Pékin

En résumé, que pouvons-nous retenir de nos premiers pas en Chine : des incompréhensions, une absence marquée de ciel bleu, du gris, des gros bâtiments mastoc, des contrôles de sécurité à chaque coin de rue ou presque : pour accéder au métro, pour accéder à la place Tien An Men, pour approcher la cité interdite…, des gardes omniprésents (c’est ce qu’on appelle le communisme).

Nous sommes heureux d’être arrivés et de débuter, enfin, ce tour du monde. Ce n’est que le début, on vous dit à très bientôt – nous serons logiquement en Mongolie ! J

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